Ce dimanche, la RUS Glontoise recevait, sur son terrain, la RU Flémalloise, une équipe que les observateurs attentifs qualifient de coriace, bien rôdée et difficile à affronter.
La première mi-temps fut assez équilibrée avec un jeu se concentrant principalement au centre du terrain sans vraiment inquiéter les gardiens. Il faut dire que le marquage serré, de part et d'autre, ne favorisait ni la créativité ni l'expression et, devant le nombre de fautes commises, le match y perdait en substance comme en intérêt.
Il fallut attendre la fin de cette première mi-temps pour voir l'étincelle jaillir. Après un rapide déboulé sur l'aile droite et s'être affranchi de plusieurs joueurs, Gökhan Altintas s'infiltrait dans la défense et tirait, de l'extérieur du pied, un ballon plein d'effet qui, trompant tous les défenseurs y compris le gardien, allait percuter le bas du poteau droit de la cage pour ricocher ensuite vers le fond des filets.
Photo du but
A droite sur la photo : Gökhan Altintas auteur du magnifique but
Au marquoir : 1-0 pour la Glontoise.
Durant la seconde mi-temps, le match présenta une toute autre physionomie. Les "jaune et noir" se montraient nettement plus incisifs et leur jeu y gagnait en efficacité tandis que la RU Flémalloise éprouvait des difficultés à se dépêtrer des assauts glontois, même si elle réussit à se frayer quelques occasions.
Au fil des minutes, avec la ténacité qu'on lui connaît, la Glontoise allait afficher un tout autre visage : plus conquérante que jamais, elle multipliait les attaques et ses différentes actions successives menées devant le but adverse ont manqué leur cible de peu. De très peu, même, n'ayons pas peur des mots.
Photos des attaques répétées et successives (cliquez sur les photos pour les agrandir)
Bref, un score en faveur des Glontois largement justifié et qui aurait pu être beaucoup plus lourd encore.
La RUS Glontoise entame donc le championnat avec brio et ce ne sont certainement pas les supporters, toujours plus nombreux à venir soutenir leur équipe, qui me contrediront.
Des tirs à blanc pourraient avoir lieu. Nous tenons à rassurer la population et à nous excuser pour les désagréments que cet exercice pourrait occasionner.
Jazz au Broukay fête ses 25 ans sous le signe de la paix. La Tour d’Eben-Ezer, élue temple de la paix, n’est pas loin et nous rappelle que vivre ensemble est un apprentissage de tous les jours, ce que le jazz, dans la mise en valeur des différences et des singularités, le tout sur fond d’enthousiasme collectif, fait à merveille !
Notre programme s’étale sur les 3 jours du 3ème week-end du mois d’août. Les générations et les origines se croisent au Broukay pour notre plus grand plaisir. Le vendredi sera belge avec BAM ! Trio et Pascale Elia Homin’in quartet. Le samedi débutera avec le jeune Bigband Vitzkids puis nous emmènera à une nouvelle fois sur les traces de Django avec Sweet Caravan et le Joachim Iannello Trio featuring Rocky Gresset, guitariste tout juste sorti de sa tournée avec Thomas Dutronc. Le dimanche, le Broukay vous ouvre sa terrasse jazz avec le Gumbo Jazz band.
Magie et positive énergie, c’est le cocktail que nous proposons de vous servir ! Soyez les bienvenus
A partir du mardi 30 aout un nouveau cours de Viniyoga commence au centre culturel de Glons (Saint-Pierre n° 8) avec Barbara Vivarelli de Sakura Yoga.
Le cours aura lieu le mardi de 12h15 à 13h15 et il est accessible toutes et tous, car le ViniYoga est une pratique douce qui associe le travail postural à la respiration pour entretenir la forme physique, obtenir un état d'apaisement, gagner en santé et sérénité.
Ce lundi 1er août 2022, Catherine Delcourt, Gouverneur faisant fonction de la province de Liège, a pris un arrêté de police avec effet immédiat qui concerne l’interdiction d’allumage de feux en plein air sur le territoire de la province de Liège.
En effet, selon des rapports de l’IRM et de la zone de secours Vesdre Hoëgne et Plateau, la période de sécheresse actuelle touche particulièrement notre province et principalement l’est de celle-ci.
👉Sont concernés tant les feux de fin de camp que les feux de veillée ou encore les feux de cuisson puisque l’arrêté prévoit qu’il est interdit de porter et d’allumer un feu en zone forestière, sans exception aucune.
👉La même disposition est également de mise concernant l’extérieur des zones forestières, à l’exception des barbecues dans les habitations privées ou à un endroit situé à une distance minimum de 100 mètres des lisières.
👉Enfin, l’arrêté prévoit qu’il est interdit d’utiliser un désherbeur thermique, d’allumer des lanternes célestes, de jeter des objets en combustion tandis que les tirs de feux d’artifices sont interdits, sauf autorisation communale.
Je vous invite à ouvrir ensemble le carnet vert pour aller à la découverte de ce légume, trop peu connu, qui mérite certainement un gros coup de projecteur.
Du chou toujours à portée de main ? Toute l’année ? Gratuitement ? Une manne ?
Absolument. Et ses qualités gustatives et vitaminiques sont éprouvées.
Présentation
Le chou Daubenton ou chou de Daubenton peut porter différents noms : chou perpétuel, chou branchu ou encore chou à mille têtes. Ce légume vivace appartient à la famille des Brassicacées. Lien : https://fr.wikipedia.org/wiki/Brassicaceae
Il doit le nom de Daubenton à Louis Jean-Marie Daubenton, médecin, naturaliste et premier directeur du Muséum national d’histoire naturelle de Paris.
A maturité, cette plante, d’une certaine envergure dont il faut tenir compte lors de la plantation, présente un port arbustif et peut atteindre 1 m à 1,20 m de haut. Elle demande donc un espace suffisant pour pouvoir se développer. On l’estime généralement à 1 mètre carré.
Vivace, rustique et résistante jusqu’à – 15°C, ses feuilles et jets peuvent être exploités toute l’année en cuisine.
En l’installant dans un sol riche, plutôt lourd et de préférence calcaire (La Vallée du Geer lui convient parfaitement), tout en veillant à lui donner une exposition ensoleillée, il peut produire durant 5 à 7 ans !
Son histoire
Cultivé depuis près de 2.000 ans, ce légume ancien était, autrefois, essentiellement utilisé comme plante fourragère pour nourrir… le bétail. Délaissé depuis le 19ème siècle, où pourtant sa production fut abondante, il reçoit enfin la considération qu'il mérite et opère un retour très remarqué sur nos tables et dans nos potagers. Outre ce fait, de par ses excellentes qualités gustatives, éprouvées, les mets à base de chou Daubenton figurent aujourd'hui en bonne place sur la carte de restaurants de renom.
Du potager à l’assiette
Dans les préparations culinaires, les feuilles comme les jets sont généralement cuits mais ils peuvent être aussi utilisés crus comme par exemple lorsqu’ils sont intégrés avec parcimonie dans les salades pour les relever avantageusement. Leur goût, plus subtil que d’autres choux, se rapproche plutôt de celui du brocoli. Sautés au wok, cuisinés en gratins, soupes, potées, ou encore farcis… les recettes sont nombreuses !
Ses qualités vitaminiques sont exceptionnelles : riche en vitamine A, B1, B2, C et K, il contient aussi du soufre, du magnésium, du potassium et des sels minéraux. Du point de vue médicinal, on lui prête aussi des vertus vermifuges, antiulcéreuses et antidiabétiques.
Sa culture ? Simple comme bonjour ! Explications en vidéo
Une culture facile et accessible à toutes et tous.
Sa reproduction s’effectue par bouturage.
Explications en vidéo par Julie du “ Potager de Green Valley “ de Saône et Loire en France
Quelques précisions complémentaires
Pour celles et ceux qui voudraient commencer la culture de ce chou, voici quelques indications utiles.
Je l’ai déjà dit plus haut, le chou de Daubenton a besoin de lumière : il faut donc lui réserver un emplacement bien ensoleillé et un sol humifère, frais et bien drainé de préférence, même s’il tolère les sols lourds. Pour l’espace à prévoir, il faut aussi savoir qu’après deux années, plus ou moins, les jets inférieurs du chou mais aussi souvent la tige principale elle-même auront tendance à fléchir et se courber prenant ainsi contact avec le sol. Aussi, par le système de marcottage, un nouvel enracinement va s'opérer à l’endroit de la courbure, ce qui offrira l’opportunité, en fonction de l’espace disponible, soit de laisser se développer les nouvelles pousses telles quelles, soit de les couper en amont de leur racine et de les repiquer pour obtenir un nouvel exemplaire de plante mère. Pour la reproduction de ce légume, la technique du marcottage s'ajoute donc à celle du bouturage.
Et la récolte ? Quand s’opère-t-elle ?
La récolte du chou Daubenton se fait tout au long de l'année. On cueille les jets poussant le long de la tige (c'est au printemps qu'ils sont les plus tendres), ainsi que les feuilles, au fur et à mesure des besoins. Il ne faut surtout pas hésiter à couper ; une récolte régulière incite le plant à produire plus.
Avoir du chou à profusion toute l’année, gratuitement, n'est-ce pas providentiel ? Vous avez dit “ La star des légumes vivaces ” ?
Et enfin pour terminer, quelques réflexions
Quand on évoque la baisse du pouvoir d’achat, il faut certainement savoir tirer parti de l’ascétisme qui nous est imposé et revenir aux fondamentaux que nous avons oubliés.
On l’aura compris, et c’est le but de ce coup de projecteur, le chou Daubenton (comme d’autres légumes vivaces ou sauvages) n’a pas toujours les faveurs des acteurs d’un marché, standardisé, privilégiant la vente des semences et des plants de légumes annuels. Ils ne font guère la réclame des légumes vivaces qui produisent sur le long terme et ne demandent pas d’attention soutenue ni d’entretiens réguliers. En l’occurrence ici, bien rares sont les étals sur lesquels les plants de chou Daubenton sont proposés à la vente.
Dans ce carnet vert, je m’attèle précisément à débusquer tous ces légumes oubliés, trop peu connus et insuffisamment pris en considération alors qu’ils regorgent pourtant de vitamines et présentent des qualités gustatives très intéressantes tout comme je relève celles offertes par les parties de légumes communs, jetées sans raison (gaspillage ! ), afin de leur redonner la place et l’attention qu’ils méritent dans notre alimentation (fanes de différents légumes, feuilles de chou-fleur,etc…).
A ce sujet, je vous renvoie à l’article précédent publié sur ce blog dans la rubrique “Le carnet vert”.
Enfin, pour celles et ceux qui seraient intéressés, au mois de juin dernier, j’ai procédé au bouturage de quelques plants extraits de notre chou Daubenton et je les céderais volontiers, histoire de faire plaisir… et de partager un légume élevé aujourd’hui au rang de star ! (MP sur Facebook)
En quelques semaines seulement, "Baguette et Cornet" s'est frayé une place de choix dans le paysage de la restauration en Vallée du Geer. Il faut dire que le programme, alléchant, fait-maison et basé sur l'utilisation de produits locaux ne peut que répondre à la demande des gourmets les plus exigeants. Sur Facebook, la clientèle ne tarit pas d'éloges…
Entretien à bâtons rompus.
R.W. : Pouvez-vous nous expliquer, en quelques mots, votre nouveau concept de sandwicherie-Glacerie ?
Baguette et cornet : Nous faisons toutes les salades maison, vous retrouverez notamment notre salade de poulet mayonnaise, poulet piquant, thon mayonnaise, thon piquant, de crevette grises, de scampis à l’ail, de jambon, d’américain etc.
Nos viandes sont également faites maison tel que notre pain de viande ou encore nos poulets croquants.
Nous réalisons aussi des brochettes de fruits frais et locaux, enrobés de chocolat Belge; ou encore des raviers de fraises enrobées au chocolat Belge également.
En plus de nos divers sandwiches, croques monsieur, paninis et salades, nous servons également de délicieuses glaces artisanales ( provenant de la ferme sous les bois.)
L’horaire d’ouverture est :
Lundi : fermé
Mardi : fermé
Mercredi : 10h00 - 21h00
Jeudi : 10h00 - 21h00
Vendredi : 10h00 - 21h30
Samedi : 11h00 - 21h30
Dimanche : 11h00 - 21h30
Vous pouvez également retrouver deux sortes bières de la Vallée de chez Monalixa :
- La cramignionne
- La ginger triple de Roclenge
Comme vous pourrez le constater, nous essayons au maximum de travailler avec des produits locaux.
R.W. : Mazette ! Un fameux programme ! Je comprends le succès que votre concept rencontre !
Une visite de la page Facebook s'impose pour découvrir ce nouveau concept dans la Vallée de Sandwicherie & Glacerie avec un max de produits locaux mais aussi pour y suivre l'actualité et les nouveaux produits proposés.
Coup dur pour le projet de centrale biomasse construite sur le site de la cimenterie CBR de Lixhe. Déjà obligé d’être revu à la baisse, le projet vient de se voir retirer son permis sur recours par la Région wallonne. Voici, en effet, ce qu'on peut lire dans un article publié dans La Meuse ce samedi 23 juillet 2022.
Toujours selon La Meuse, après étude du dossier, les deux ministres wallons compétents en la matière ont tranché. Willy Borsus (Aménagement du territoire) et Céline Tellier (Environnement) ont décidé d’infirmer la décision prise en première instance par Visé et de refuser, sur recours, le permis. Parmi les motifs invoqués, la provenance des bois. « La nature des intrants potentiellement acceptés est très hétérogène de sorte que certains déchets, à l’examen de leur composition, sont assimilés à du déchet dangereux », précise l’arrêté. « Rien ne garantit que les bois de catégorie commerciale B ne sont pas des bois imprégnés. »
L'article complet à lire dans votre journal La Meuse.
Après plus de 60 heures d’angoisse, la famille de Bénédicte et Léa, disparues depuis mardi soir, respire enfin. Mère et fille sont rentrées ce vendredi après-midi. La maman dormait chez des amis…
Bénédicte Demoulin, 35 ans, et sa fille Léa, 8 ans, sont saines et sauves. Alors qu’on craignait le pire depuis leur disparition mardi soir, elles sont en effet réapparues ce vendredi après-midi, saines et sauves, rapporte le site Web du journal La Meuse ce samedi.
Selon le parquet de Liège, la maman et sa fille auraient passé ces presque trois jours dans l’appartement de personnes rencontrées durant leur séjour à la mer. Sans GSM, la maman n’aurait pas eu conscience du branle-bas de combat qu’avait suscité sa disparition. Ses hébergeurs, ayant appris que la maman et sa fille faisaient l’objet de recherches, auraient alors décidé de prévenir eux-mêmes les forces de l’ordre, avant de les ramener au domicile qu’elles partagent avec les parents de Bénédicte.
