lundi 6 février 2023

Bassenge. Risque d'effondrement d'un bâtiment : mise en place d'une déviation

Mise en place d'une déviation avec sens giratoire (sens unique) - rue Baudoin 1er - rue des Combattants - rue Vinave - rue de la Paille - rue Royale - rue G Fraikin, suite aux travaux dans la rue G. Fraikin et un risque d'effondrement d'un bâtiment.

Source Bassenge.be


mercredi 25 janvier 2023

Environnement - Bassenge. A Eben, nouveau massacre de peupliers ! Des abattages en masse (photos)


En 2013, sur mon blog Sudinfo, je poussais un gros coup de gueule sur les opérations rasibus dont les peupleraies de Wonck faisaient l'objet. Les autorisations données par la commune étaient assorties d'une condition :  l'obligation de replanter. Or, nous sommes en 2023, soit 10 ans après et force est de constater qu'aucune nouvelle plantation n'a été réalisée.

Par contre, le massacre se poursuit et s'est étendu jusqu'à Eben. Les engins sont actuellement à l'œuvre et plusieurs hectares sont encore concernés.

Photos




Triste tableau d'un patrimoine naturel qui fout le camp...

J'aurai certainement l'occasion d'y revenir.

La page que consacre Louis Maraite à mon article de 2013 dans son ouvrage "Alman'arbres"





mardi 24 janvier 2023

Carnaval - Vallée du Geer. Belle occasion à Liège : la boutique «Abracadabra» met en vente ses 2.500 déguisements de location!

 

Comme le rapporte le journal La Meuse ce mardi en ses colonnes, l’opportunité est incroyable à saisir, à l’heure où la saison des carnavals va débuter ! 

La boutique liégeoise « Abracadabra » met en vente ses 2.500 costumes dédiés jusqu’alors à la location. Une décision pour sortir de la crise…

Présentation du magasin en vidéo

 :

 Le magasin, est situé à quelques pas de la Médiacité.

Tous les renseignements sur la page Facebook :

https://www.facebook.com/abracadabraliege


jeudi 19 janvier 2023

Porte d'entrée de Glons. Le site militaire a été complètement nettoyé : première étape d'un projet de reconversion ?

 

C'est un site militaire situé à l'entrée de Glons. Il est composé d'un vaste pavement d'où émergent des structures en béton, pas bien hautes, disposées en enfilade. Equipées de tuyaux, ce sont de petites stations avec des quais dont l'ensemble fait penser à un port pétrolier à plus petite échelle.  Si l'on s'en tient aux indications figurant sur les panneaux répartis sur le site, sa fonction est la distribution de carburants.

Disséminés sur le pourtour de la zone, des arbustes  : probablement ont-ils été plantés pour cacher de la vue des passants ces constructions pour le moins disgracieuses.

Depuis les années 70 , voire même un peu avant, cette zone militaire à l'aspect austère défigure l'entrée de la belle bourgade de Glons - Défigure ? Oui, n'ayons pas peur des mots . Cela fait donc 50 ans que la présence de cet espace militaire a été imposé aux habitants qui " ont toujours dû faire avec...".  Interdit d'accès, il est ceinturé par de très hautes clôtures dissuasives surmontées de fils de fer barbelés. Il est clair que l'entreposage, le pompage et le transvasement de carburants inflammables et volatiles demandent de strictes mesures de sécurité qui s'accompagnent d'interdictions.

Durant cette dernière décennie, la zone a visiblement manqué d'attention et d'entretien ; elle est devenue un "No man's land" en friche. La végétation sauvage s'est fortement développée, même à l'extérieur du site au point d'empiéter, par endroits, sur les trottoirs exigus de la rue Van der Wielen et de la route provinciale qui le longent de part et d'autre. 

La nature s'est exprimée. Le béton s'est effrité.

Le temps a fait son œuvre.

Et, le radar et ses installations connexes ont fait leur temps. 

En effet, il y a quelques années, ce qu'on nomme communément "le Radar" a déménagé. L'année dernière, le site principal situé sur les hauteurs de Glons a été repris et exploité par Fedasil. Les installations connexes,  dont il est question ici, ont été abandonnées, laissées à leur triste sort. 

Voilà pour ce qui est de l'histoire du lieu étant bien entendu que l'auteur de cette chronique n'est absolument pas dans le secret de la Défense et qu'elle repose sur ses observations de citoyen Glontois et s'appuye sur les informations dispensées dans la presse ces derniers temps.

A lire en suivant ce lien :

https://www.sudinfo.be/id567110/article/2022-11-02/racheter-le-terrain-de-la-defense-lentree-de-glons-pour-y-creer-un-espace-public?referer=%2Farchives%2Frecherche%3Fdatefilter%3Dlastyear%26sort%3Ddate%2Bdesc%26word%3Dfriche%2Bglons

Un déménagement est toujours l'occasion de trier et se défaire de biens devenus inutiles ou superflus. S'agissant ici, en l'occurrence, de biens immobiliers appartenant à l'Etat, la situation soulève des questions de différents ordres : Quid de ce No man's land en plein coeur du village de Glons ? Le site est-il pollué ou sain ? Est-il encore dangereux ? Qui va s'en occuper, désormais ? Quel avenir pour cette zone militaire ?  Serait-elle à vendre ? Pourrait-on l'acquérir ? Pourrait-on imaginer un projet pour le rendre aux citoyens et en faire bénéficier la collectivité  ? 

Des questions qui demandent à trouver des réponses

Première action : au mois d'août dernier, le Chef de groupe PS Christopher Sortino envoyait un courrier à la Ministre de la Défense Ludivine Dedonder

Extrait de l'article publié dans La Meuse au mois de décembre. " Pour tâter un peu le terrain, le socialiste a écrit à Ludivine Dedonder, ministre de La Défense afin de voir ce que cette dernière faisait de ce terrain et s’il était envisageable de le céder à la commune. Dans sa réponse, la ministre a confirmé que ce terrain n’était plus exploité par La Défense. « Il s’agit d’un ancien quai de déchargement de la Belgian Pipeline Division », précise la ministre dans son courrier. « Nous avons connaissance d’une petite tâche de pollution en huiles minérales dans le sol et l’eau souterraine. Une étude combinant l’étude d’orientation et l’étude de caractérisation doit être réalisée. Si la pollution se limite à ce qui a été observé, il est possible qu’un assainissement ne soit pas nécessaire. Des négociations pour aliéner le site (horizon 2028) et éventuellement le céder à la commune par voie d’expropriation à l’amiable peuvent être initiées par le conseil communal. "

Par la même occasion, ce courrier abordait l'état déplorable de cette zone  en friche qui, aux dires de ceux qui se sont tournés vers le jeune conseiller, affectait le cadre de vie des riverains.

Réaction de la Ministre Dedonder : le site a été complètement nettoyé !

Sa réaction ne s'est pas fait attendre. Au moins de décembre, soit quelques mois après l'envoi du courrier du Conseiller bassengeois, les services de la Défense sont intervenus. Le site a été nettoyé de fond en comble. Toute la signalétique a été enlevée ; preuve s'il en est que ces installations ne sont et ne seront plus utilisées comme dépôt de carburants. Relevons, et cela me paraît important, que cette décision de mettre toute la signalétique au placard est un élément probant pour la bonne avancée de ce dossier.

La réactivité de la Ministre est manifeste.

Manifeste aussi est l'intérêt porté par le Conseil communal, lequel au mois d'octobre a approuvé la proposition avancé par le PS de Bassenge. 

En Conseil communal, Christopher Sortino, chef de groupe socialiste expliquait : « On peut en effet penser y réaliser un parc/espace communautaire, une place publique, une infrastructure sportive/de jeux, une zone verte ou, plus généralement, une infrastructure d’utilité publique : les idées ne manquent pas. Et toutes sont finançables, à condition de bonnes décisions politiques, concertées bien entendu avec les riverains. »

La seconde action ?

En ce début d'année, des contacts demandent à être pris par le Collège de Bassenge avec la Ministre de la Défense pour étudier la faisabilité d'un projet de reconversion.

Cette vaste zone militaire dont la présence comme l'aspect déshumanisent un quartier de Glons va-t-elle, d'une manière ou d'une autre, trouver une nouvelle affectation dont la collectivité pourrait bénéficier ?

Alea jacta est...

A suivre, donc.

AD

mercredi 11 janvier 2023

Bassenge. Ramassage des sapins de Noël : rappel des jours

 

Pour l'entité de Bassenge, le ramassage des sapins de Noël se déroulera le jeudi 12 et vendredi 13 janvier 2023 

(Source Facebook Bassenge)

mercredi 4 janvier 2023

Bassenge. Beaucoup de travaux d’égouttage en perspective pour 2023

Le budget 2023 de Bassenge a été approuvé voici quelques jours. Beaucoup de travaux d'égouttage en perspective. Et notamment ceux dans la rue Sébastien Fouarge à Wonck. Sont prévus aussi en 2023, l’aménagement de plaines de jeux ou encore le développement de projets liés à la passerelle Caster .

Un article à lire dans votre journal La Meuse de ce mercredi 4 janvier 2023

mardi 27 décembre 2022

Dépôts sauvages - Bassenge. Des tonnes de pommes de terre jetées dans la nature ? (photos)

 

Dans notre société de surconsommation, on va d'étonnement en étonnement.

Cette fois, c'est un volume conséquent de pommes de terre jetées, sans vergogne, au bord d'un chemin de campagne à Roclenge qu'a découvert un promeneur durant ce weekend de Noël.

Quand les aliments de base rejoignent la liste des déchets et des crasses jetées dans la nature, les question fusent, évidemment...



lundi 26 décembre 2022

Bassenge. Les feux d'artifice, c’est permis... Avec toutefois certaines conditions : petit rappel

Le journal La Meuse rapportait hier dans ses colonnes que dans la majorité des communes liégeoises, la règle est variable en fonction de la période de l’année: concrètement, les feux d’artifice sont interdits partout et tout le temps, sauf durant certaines périodes de fête. Sur les communes de la Basse-Meuse (Bassenge, Blegny, Dalhem, Juprelle, Oupeye et Visé), il existe une tolérance les nuits des réveillons de Noël et de Nouvel an. Et ce, sans faire de distinction entre des feux d’artifice normaux ou silencieux. C’est le cas également à Comblain-au-Pont où l’interdiction de feux d’artifice est levée ces mêmes nuits de réveillons.

Rappel du communiqué de la zone Police Basse-Meuse

Chers concitoyens bassimosans,

Les réveillons sont à nos portes et avec eux leurs cortèges de réjouissances.

Une habitude en cette période de fêtes est d’utiliser des pétards et autres artifices.

La loi interdit cette pratique mais depuis de nombreuses années les communes adoptent une attitude plus tolérante lors des réveillons du 24 et 31 janvier, entre 22.00 et 2.00. et la police respecte cette tolérance.  

Néanmoins nous nous devons de veiller aux excès et, par exemple, l’utilisation de gros pétards du genre « Thunderflash » est rigoureusement interdite.

Nous tenons également à rappeler que l’utilisation de ces pétards et feux d’artifices peut s’avérer dangereux pour ceux qui les manipulent. Le divertissement peut vite virer au drame, tant pour les utilisateurs, que pour toute personne à proximité, ainsi que pour l’environnement. 

Chaque année nous déplorons des accidents et des blessés.

Par ailleurs, nous devons également penser au bien-être animal ; en effet, pétards et feux d'artifice représentent pour les animaux une source de stress et de danger, notamment en raison de leur ouïe bien plus fine que la nôtre. 

Il n'est donc pas rare de voir les animaux en panique se sauver, ce qui implique un danger pour eux et pour les éventuels usagers de la voie publique.  

Nous espérons donc que vous tiendrez compte également de ce paramètre pour éviter, et à tout le moins fortement limiter, l’utilisation de ces engins pyrotechniques.  

En dehors de ces périodes de tolérance nous serons attentifs et n’hésiterons pas à verbaliser et saisir les objets de ce qui reste…une infraction.

Nous vous remercions pour votre collaboration à la tranquillité publique et au bien être de chacun d’entre nous et nos amis à quatre pattes. 

CDP Alain LAMBERT

Chef de corps ZP Basse-Meuse

Source

https://www.facebook.com/Zp5281/

samedi 24 décembre 2022

Joyeux Noël à toutes et tous !

 

Il arrive.... Je viens de le dépasser sur l'autoroute en descendant vers Boirs...

Joyeux Noël à toutes et tous ! 

De la part de Roger blogueur Bassenge Info 

Bassenge. L'immobilière Franceschini : une présence et une expansion manifestes !

En Vallée du Geer, après trois ans seulement, l' immobilière Franceschini s'est forgée une place de choix en ce domaine. Comme en t...